Il existe un pays non loin du paradis
Où le verbe partir n’a pas de raison d’être
Où un simple séjour éloigne les soucis
Et où subsistent encore quelques plaisirs terrestres
Le bruit continu des vagues sur la plage
Et la vue splendide de tous ces cocotiers
La présence sacrée des vaches sur le rivage
Contribuent sans doute à cette sérénité
Les mets délicats servis dans les paillottes
Découverte subtile de la gastronomie
Associe sans aucune fausse note
Le plaisir des sens ensemble réunis
Les couleurs clinquantes de tous ces beaux saris
Que portent avec grâce beaucoup de femmes indiennes
Les enveloppent d’un charme de maharani
Laissant les autres comme de vulgaires terriennes
Des myriades d’enfants errant ici et là
Recherchant sûrement un peu de nourriture
Nous cachaient pourtant leur immense désarroi
Souriant, oubliant une vie bien trop dure
Le visage rayonnant de tous les villageois
La douceur de vivre comme on l’avait rêvée
Nous laissait heureux tous les sens en émoi
Et surtout comblés d’avoir pu partager
Une leçon de vie souvent bien nécessaire
A méditer pour ces nombreux touristes
Recherchant encore une façon de faire
Un voyage fabuleux encore plus exotique
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