Touches laissées à la poussière
Blanches et noires recouvertes
Plus aucun son, ni de mystère
D’une musique aux rues désertes
Un piano vagabond aux allures d’abandon
Juste un murmure de vent qui lasse
Poussant les murs et les cloisons
Pour faire la place au temps qui passe
Mélodies oubliées d’une cage d’escalier
Quand la nature reprend ses droits
Où trouver cette force et espérer
Quand alentour on voit l’effroi ?
Que revienne la musique pour adoucir les mœurs
Qu’on donne la mesure sur le beau piano droit
Que résonnent les rires, effaçant toutes les peurs
Et qu’on retrouve enfin un semblant de chez soi
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