Le départ venait d’être donné. Les étalons arabes, fiers et fougueux, galopaient dans la poussière.
Comme chaque vendredi après-midi, le roi était là pour voir courir ses propres chevaux.
Un regard d'un bleu pur où l'on voudrait plonger Non pas pour s'y noyer mais retrouver l'espoir ![]() D'une vie sans nuage et oublier le noir D'une sombre pupille toute en brutalité A gaze of pure blue where one would want to dive Not to drown, but to find hope once again Of a life without clouds, and to forget the dark Of a shadowy pupil, all brutality → plus
Il était une fois une main délicate Qui n’croyait pas en elle, se trouvait plutôt laide Serrait malgré tout d'autres mains à la hâte N'imaginant même pas pouvoir venir en aide
C'est impossible, dit la Fierté
![]() C'est risqué, dit l'Expérience C'est sans issue, dit la Raison Essayons, murmure le Coeur.
Sur ce dos détendu et qui s'offre au toucher
Je suis face au sanctuaire et m'incline devant
Plus rien ne bouge autour, le temps s'est arrêté
La chaleur de ta peau qui diffuse sous ma main
La musique d'un cœur qui marque la cadence
Au rythme de ton souffle, je rentre en ce lieu saint
Et approche le mystère de cette transcendance
→ plus Maintenir les braises brûlantes Sentir la chaleur de l’instant Et s’enlacer au temps présent
Touchés par la même lumière Les yeux dans les yeux, plus sereins S’imaginer loin de la Terre Abandonner tous nos chagrins |
PoésiesPoésies d'ailleurs
|
|
→ plus de commentaires