Comme une pluie de larmes tombée sur l’aquarelle
Elle laisse déverser son trop plein de chagrin
Inspirant l’air ambiant saturé de tristesse
Essaye d’oublier qu’elle est seule ce matin
Un ami est parti dans un monde parallèle
Elle ne doute même plus qu’il est heureux là bas
Balayant idées noires et peur du lendemain
Maintenant il faut vivre, ne pas baisser les bras
Brassées de fleurs sauvages ramassées ça et là
La nature l’appelle, doux son mélodieux
Euphorie du moment, elle se laisse bercer
Et rentre dans la toile, de la joie plein les yeux.
→ plus de commentaires